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Manche de Crépy les 4 et 5 mai 2019


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Merci à tous pour votre présence et votre bonne humeur, c'est toujours un plaisir de vous accueillir à Crépy ! L'ambiance était heureusement bien plus chaleureuse que le temps, bravo à ceux qui ont bravé ces conditions particulières. 

A très bientôt !

L'équipe du Musée

En-dessous : rare photo d'un arc-en-ciel ce week-end, et le joli podium du samedi ! 

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Il y a 23 heures, bigfoot a dit :

amène tes fesses ..... tu verras ce que je te tirerai au c.. 

 

on n'est pas comme les légionnaires nous on ne s'occupe pas des chèvres 

Image associée

j'en suis aussi cher compatriote!!! ces strophes m'ont toujours peinées....☺️

Edited by string
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Amis Alsaciens, Suisses et Lorrains, ainsi que les Belges pour qui il y en a encore, ne soyez pas peinés. En fait, c'est de l'autodérision.

Ces strophes datent du temps où les Français ne pouvaient pas s'engager dans la Légion Étrangère en tant que tels, donc tous ceux qui étaient francophones se disaient Alsaciens ou Lorrains (donc ressortissants allemands à l'époque) ou Suisses ou Belges .

Voilà, voilà...........

Quant au boudin, il ne s'agit pas de la préparation charcutière, mais de la couverture roulée en forme de boudin dans la toile de tente et accrochée sur le sac à dos..........

 

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Le 09/05/2019 à 16:30, PEDRO a dit :

Ces strophes datent du temps où les Français ne pouvaient pas s'engager dans la Légion Étrangère en tant que tels, donc tous ceux qui étaient francophones se disaient Alsaciens ou Lorrains (donc ressortissants allemands à l'époque) ou Suisses ou Belges

Au sujet des Belges, selon le ministère de la Défense des Armées :

Citation

Selon la version reconnue, en 1870, lorsque la guerre franco-prussienne éclate, la France décide que la Légion étrangère doit y participer. Le roi des Belges, Léopold II, demande formellement que les légionnaires ressortissants de son pays ne participent pas à ce conflit en raison de la neutralité de la Belgique. Le gouvernement français accède à cette demande et les légionnaires en partance chantent à leurs malheureux camarades belges obligés de quitter les rangs ces paroles quelque peu désobligeantes.

 

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Il y a 21 heures, Corbeau a dit :

Au sujet des Belges, selon le ministère de la Défense des Armées :

Selon la version reconnue, en 1870, lorsque la guerre franco-prussienne éclate, la France décide que la Légion étrangère doit y participer. Le roi des Belges, Léopold II, demande formellement que les légionnaires ressortissants de son pays ne participent pas à ce conflit en raison de la neutralité de la Belgique. Le gouvernement français accède à cette demande et les légionnaires en partance chantent à leurs malheureux camarades belges obligés de quitter les rangs ces paroles quelque peu désobligeantes.

euh !!! moi je connaissais une autre explication :

l'interdiction faite aux belges de s'engager dans la légion lorsque la France s'est engagée dans une guerre au mexique (1863) ... une des filles de Léopold 1er de Belgique (Charlotte) étant mariée avec le prétendant au trône du Mexique ......

 

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Il y a 4 heures, bigfoot a dit :

euh !!! moi je connaissais une autre explication :

l'interdiction faite aux belges de s'engager dans la légion lorsque la France s'est engagée dans une guerre au mexique (1863) ... une des filles de Léopold 1er de Belgique (Charlotte) étant mariée avec le prétendant au trône du Mexique ......

 

D'après Wikipédia il y a 3 explications possibles. Mais la vérité est sans doute que les Belges ♫ "ce sont des tireurs au c*l"...♫ :00000726:

 

(pas taper :bangin: )

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il y a 50 minutes, Corbeau a dit :

D'après Wikipédia il y a 3 explications possibles. Mais la vérité est sans doute que les Belges ♫ "ce sont des tireurs au c*l"...♫ :00000726:

 

(pas taper :bangin: )

tu finiras suicidé d'une flèche dans le dos ..... mais en fait 3 explications différentes ça correspond bien au surréalisme à la belge ..... 

Edited by bigfoot
  • Haha 1
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il y a 22 minutes, PEDRO a dit :

Pas du tout.

C'est le môme qui grandit......................:devil:

Merci pour ton aide !   :worthy:

L'arc était un peu surdimensionné il y a 3 ans quand le petit avait 6 ans, de manière à "grandir" avec lui, prenant du poids à mesure que l'allonge du tireur augmenterait. Mais à un moment donné il y aura une limite...

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Il y a 3 heures, Corbeau a dit :

Heureusement que Jules était là... :23:

Il est toujours tireur officiel "arcs du corbeau" ?

Tout à fait. 

Il y a 2 heures, Corbeau a dit :

Il ne devient pas petit cet arc ?

Ça commence à être un peu juste. 

Il va falloir que je m’y mettes pour en faire un plus grand. 

Celui-ci(avec ton accord et celui de Jules) ira sûrement à un autre futur champion. 

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il y a 52 minutes, seregon a dit :

Celui-ci(avec ton accord et celui de Jules) ira sûrement à un autre futur champion.

Excellente idée.

Si ça ne dérange pas, je partagerai la photo sur le facebook des arcs du corbeau.

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  • 2 weeks later...

Autre version............

« Tiens, voilà du boudin, voilà du boudin, voilà du boudin
Pour les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains,
Pour les Belges, y en a plus, pour les Belges, y en a plus,
Ce sont des tireurs au cul. »

Petite explication de texte pour comprendre les paroles du refrain de la marche de la Légion étrangère. Tout d’abord, le boudin de la chanson désigne la toile de tente du paquetage que les légionnaires mettaient en bandoulière. Sa forme rappelait aux militaires alsaciens naturellement mélancoliques de leur région natale, le boudin de leur enfance, célèbre charcuterie dont je témoigne de l'origine strasbourgeoise.

 

Concernant les Alsaciens, Suisses et Lorrains, il s’agit ici d’une allusion à une décision ministérielle du 6 mars 1871, rappelée par une circulaire du 27 novembre 1873, qui avait suspendu d’une manière générale les engagements volontaires des étrangers et spécifié que les Alsaciens, les Lorrains et les Suisses pouvaient seuls obtenir des autorisations.

 

Et les Belges ? Selon la version reconnue, en 1870, lorsque la guerre franco-prussienne éclate, la France décide que la Légion étrangère doit y participer. Le roi des Belges, Léopold II, demande formellement que les légionnaires ressortissants de son pays ne participent pas à ce conflit en raison de la neutralité de la Belgique. Le gouvernement français accède à cette demande et les légionnaires en partance chantent à leurs malheureux camarades belges obligés de quitter les rangs ces paroles quelque peu désobligeantes.

 

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Description

Variante : saucisson noir, ou saucisse noire (schwarzwurscht, à base de sang et de lard).

Le boudin alsacien (dit aussi « de Strasbourg »), en plus du sang et du gras de porc, présente la particularité de contenir du pain trempé dans du lait. Cette vénérable spécialité charcutière, établie dans la région depuis plus d’un demi-millénaire, comprend également des couennes cuites (15%), des oignons revenus au saindoux (20%) et le fameux pain trempé dans du lait (10%), remplacé tantôt par de la chapelure. Son croquant et sa saveur fumée en font un produit unique, toujours très demandé aux jours glaciaux d’automne et d’hiver jusqu’au début du printemps.

Chaque artisan a sa méthode, « ses » proportions. Le mélange, dûment haché, s’enrichit de sel, de sucre semoule et d’un assaisonnement introduisant noix de muscade, coriandre, macis, girofle, cannelle, marjolaine, piment des Caraïbes, poivre etc. La mixture granuleuse prend place dans un boyau de porc d’un diamètre d’à peu près 4 centimètres. Celui-ci, portionné et ficelé, cuit une demi-heure. Rincé, puis égoutté, il est fumé à froid, avant de prendre place dans la vitrine réfrigérée de l’artisan boucher ou charcutier.

Le boudin noir alsacien accompagne la choucroute (simple ou garnie). En plat principal, on le déguste avec de la compote de pommes.

De nombreuses gravures sur bois de la fin du XVe siècle et du XVIe siècle montrent la confection du boudin en Alsace, appelé « bluthunde ». Certains écrits de cette époque rapportent sa vocation de « viande du pauvre ». Il comportait alors jusqu’à près de la moitié de son poids en pain trempé au lait. Plus près de nous, on le consommait surtout entre la Toussaint et Pâques. Aujourd’hui, si le boudin noir alsacien a évolué dans ses proportions en pain et en lait, il demeure un produit fortement enraciné dans le passé.

 

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