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Ornicar : Sur La Piste De Son Meurtrier...


Cécile
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Le Mérou serait donc Ornicar ? (Mérou est donc Ornicar) désolé j'ai pas pu me retenir :ouf:

C'est en effet très vraisemblable et cela nous plonge au coeur d'une des plus célèbre histoires de ripoux de la police française.

L'hypothèse de l'identification du gangster connu sous le nom du "Mérou" avec Ornicar fut avancée par le commissaire Méret en 1973. La piste n'a jamais abouti bien que l'enquête ait bénéficié de moyens considérables et englouti des sommes folles en notes de frais. Méret prétendit toujours que ces notes de frais pharamineuses ne l'étaient pas tant que ça "si on regarde bien " et qu'il était sur le point de procéder à un "beau coup de filet" (un filet de Mérou ajoutait-il finement à l'intention des journalistes qu'il recevait au bar du Carlton). Pour mémoire on rappelle que le suspect ayant ses habitudes dans les palaces (selon Méret), des planques et souricières furent mises en place dans tous les grands hôtels de la côte d'Azur durant 15 ans par le commissaire et son équipe d'enquêteuses ukrainiennes qui se faisaient passer pour de simples milliardaires. Lorsque les caisses du ministère de l'Intérieur furent vide et que le commissaire disparut avec toute son équipe on s'avisa soudain place Beauvau que ce filou de Méret et le filet de mérou n'avait jamais fait qu'un. Une des Ukrainiennes, arrêtée 6 ans plus tard par Interpol, déclara qu'elle avait été subjuguée par cet homme que toute les femmes surnommaient "Gold Finger". Après deux trois calottes elle reconnut que ce n'était pas "Gold Finger" mais plutôt "Or Niqueur". Seule la coordination a pu mettre fin à cette affaire que la presse avait appelé la "French Conjonction".

Edited by Flèche peinte
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Il semblerait que Méret, de son vrai nom Méroux, se soit ruiné à entretenir ses complices ukrainiennes................

Il se dit dans la pègre parisienne qu'il aurait fini par trouver un emploi de concierge ..........Sur la porte de sa loge on pouvait lire sur un panneau, clin d'oeil à l'argot de sa jeunesse: "Méroux, bignole".

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Eh ben voilà, la perche (un poisson, comme le mérou) était bien trop tentante :06:

Eh oui, c'est la triste réalité, l'humanité peine à faire du neuf avec le mérou. C'est du reste l'unique raison pour laquelle aucun mérou ne figure dans la peinture préhistorique... Déjà à l'époque le peintre se disait "ah non, je fais pas de mérou parce que ça va pas louper, un gland va passer devant et ressortir la blague mathusalémique du poil qui se tond, ou qui pète et aussi celle de la bignole... donc non, je vais faire autre chose !".

En tant que spécialiste je déplore cette absence du mérou pariétal mais je comprend aussi la lassitude de l'artiste. Je me borne à espérer et à noter, scrupuleusement, toutes les nouveautés. Je suis donc en mesure de vous informer que la seule nouveauté significative de l'année 2013 à propos du mérou est celle que nous a livré l'auteur cité en tête de ce message.

"Mérou est donc Ornicar " est une nouveauté, reconnue comme telle et jugée valable avec la mention "pas mal" par le comité que j'ai l'honneur de présider. Dont acte.

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"Mérou est donc Ornicar " est une nouveauté, reconnue comme telle et jugée valable avec la mention "pas mal" par le comité que j'ai l'honneur de présider. Dont acte.

Et c'est pour ça que je me permet d'intimer l'ordre à certains salisseurs de mémoire qu'ils feraient mieux de fermer leur claque merde !

AH!

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Trêve de plaisanterie, il est temps de considérer le mérou sous un angle plus scientifique et historique.

Le mérou est en fait originaire de Franche-Comté, plus exactement de ce qui est actuellement le territoire de Belfort, village de Méroux, 819 habitants.

Au néolithique, la petite tribu mérou était connue pour son indépendance. Les hommes se teignaient les cheveux en bleu, d’où leur nom de Mérous teints (devenu actuellement méroutains) . Les femmes accompagnaient les guerriers et participaient aux combats, leur férocité les faisait nommer les Mérous teignes, devenu méroutaines.

Leur nourriture de base était un gros poisson, le mérou, dont ils faisaient l’élevage dans les étangs……ils en tiraient une potion qui leur donnait force et courage.

Chaque été, une partie des Mérous teints (appelés les Mérous libres) partaient vers le sud à bord de charriots et transportaient avec eux des barils d’eau salée contenant des mérous vivants en guise de nourriture. Ils allaient jusqu’à la mer.

Une année, les Mérous teints furent attaqués par les habitants d’une grande ville au bord de mer……..Afin que les mérous ne tombent pas aux mains des assaillants, les barils furent jetés dans les calanques , et le poisson fit souche.

Mal renseignés, les Mérous teints rescapés obliquèrent vers le nord-ouest en voulant rentrer at home et se retrouvèrent au bord de l’océan. Fatigués, ils décidèrent de s’installer et fondèrent un petit village que nous connaissons bien et qui, quelques siècles plus tard, résistera encore et toujours à l’envahisseur grâce à leur potion améliorée, le mérou étant remplacé par du hareng et du cabillaud. …………On notera d’ailleurs l’importance du poissonnier dans le village, et la tradition des bagarres rituelles où le poisson joue un rôle essentiel, même si la nourriture de base est devenue le sanglier, l’homme s’adaptant à son environnement.

Voilà l'historique véritable de l'apparition du mérou en Méditerranée, le reste n'étant que calembredaines, galéjades et carabistouilles!

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Trêve de plaisanterie, il est temps de considérer le mérou sous un angle plus scientifique et historique.

Le mérou est en fait originaire de Franche-Comté, plus exactement de ce qui est actuellement le territoire de Belfort, village de Méroux, 819 habitants.

Au néolithique, la petite tribu mérou était connue pour son indépendance. Les hommes se teignaient les cheveux en bleu, d’où leur nom de Mérous teints (devenu actuellement méroutains) . Les femmes accompagnaient les guerriers et participaient aux combats, leur férocité les faisait nommer les Mérous teignes, devenu méroutaines.

Leur nourriture de base était un gros poisson, le mérou, dont ils faisaient l’élevage dans les étangs……ils en tiraient une potion qui leur donnait force et courage.

Chaque été, une partie des Mérous teints (appelés les Mérous libres) partaient vers le sud à bord de charriots et transportaient avec eux des barils d’eau salée contenant des mérous vivants en guise de nourriture. Ils allaient jusqu’à la mer.

Une année, les Mérous teints furent attaqués par les habitants d’une grande ville au bord de mer……..Afin que les mérous ne tombent pas aux mains des assaillants, les barils furent jetés dans les calanques , et le poisson fit souche.

Mal renseignés, les Mérous teints rescapés obliquèrent vers le nord-ouest en voulant rentrer at home et se retrouvèrent au bord de l’océan. Fatigués, ils décidèrent de s’installer et fondèrent un petit village que nous connaissons bien et qui, quelques siècles plus tard, résistera encore et toujours à l’envahisseur grâce à leur potion améliorée, le mérou étant remplacé par du hareng et du cabillaud. …………On notera d’ailleurs l’importance du poissonnier dans le village, et la tradition des bagarres rituelles où le poisson joue un rôle essentiel, même si la nourriture de base est devenue le sanglier, l’homme s’adaptant à son environnement.

Voilà l'historique véritable de l'apparition du mérou en Méditerranée, le reste n'étant que calembredaines, galéjades et carabistouilles!

Hypothèse novatrice et bien argumentée, donc intéressante. La contribution est versée au grand livre du Mérou et son auteur reçoit l'Ecaille de 1ère classe de l'Ordre du Mérou d'Or (*). Les perspectives ouvertes par cette nouvelle problématique seront sans doute suivies par une nouvelle génération de chercheurs. Le comité applaudit.

(*) : L'Ordre du Mérou d'Or vise à distinguer les contributeurs méritants de la recherche sur le mérou. Il y a plusieur grades dans l'Ordre, y compris des grades négatifs décernés aux personnes qui nuisent à l'image du mérou ou de la recherche sur lui. Par exemple le prochain qui sort une blague que même Noé dans son arche trouvait lassante, recevra la "fiente de mérou".

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Voilà une décoration supplémentaire que j'accepte bien volontiers en ce sens qu'elle diffère des autres et des hémorroides , n'importe quel trou du cul ne pouvant pas l'avoir!

En plus de la décoration qui vous sera remise en grand tralala à une ou l'autre occasion par le ministre des mérous (ou sa soeur s'il n'est pas là, ou n'importe qui si elle veut pas), il y a une rente à vie de 1€ tout les 10 ans payable en début de 3ème décennie après les premiers 50 ans. Le comité ne recule devant aucune dépense.

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