Jump to content

yxhemmel

Membres
  • Posts

    14
  • Joined

  • Last visited

Previous Fields

  • Département (ex: 01):
    75
  • ville:
    paris

yxhemmel's Achievements

Visiteur

Visiteur (1/11)

  1. Je comptais profiter de l'occasion pour m'initier au longbow mais des soucis familiaux m'en empêche. J'espère pouvoir me libérer pour le prochain
  2. Ce ne sont pas les armes à feu qui ont enterré l'arc , c'est l'artillerie. Dans le fonctionnement , comme dit avant, l'arquebuse se rapproche de l'arbalète, y compris dans son utilisation (un ciblage individuel). L'arc lui, par sa porté, son tir en cloche, et son utilisation "groupé" est plus proche des caractéristiques d'utilisation de l'artillerie de campagne. Il va y avoir quelques batailles d'ailleurs qui vont opposer artilleur et archer (je n'ai retrouvé que celle-ci http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Castillon mais ce n'est pas celle que j'avais eu en exemple). Je crois qu'aucune n'a tourné en faveur des archers.
  3. en faisant une rapide recherche internet je suis tomber sur ce sujet: comment secher le bois sans qu'il se fende? Et notamment cette réponse d'une personne de Nouvelle-Calédonie Ce serait donc une pratique assez répandu HS: dans ce sujet il y a aussi un post que je trouve très intéressant de xylos75 sur le séchage du bois
  4. Non, c'est un effet "secondaire",là je suis formel, voir la citation sur les résineux. Sur un délais bref ça peut encore avoir un intérêt,mais si ce que tu disais étais exact les anciens voiliers n'aurais jamais eu besoin d'être caréner et c'est loin d'être le cas, la mer aussi à sa vermine et parfois pire que la terrestre...
  5. Identiques non mais je pense qu'il y a des points communs. Les mats aluminium, au repos, finissent cintrés(supporte moins la déformation que le bois), il se rapproche donc un peu de la forme d'un arc en activité. Le vent n'étant pas régulier, ils subissent une force minimum quasi permanente mais qui connait des pics . Ce qui est dommage c'est qu'à ma connaissance on n'utilise plus tellement ce type de technique, difficile donc de savoir précisément les effets de ce traitement aujourd'hui
  6. Bonjour, Je ne suis pas sûr que cela vous intéressera, mais au ca où... Comme déjà dit dans un autre sujet j'ai une petite expérience dans la construction navale, pas dans le bois mais en cutant on récolte quand même quelques infos Je me suis souvenu que sur les anciens voiliers on traitait souvent le bois en le plongeant dans l'eau de mer. Le traitement était sensé améliorer ses qualités mécniques une fois séchés et notamment diminuer les risques d'éclatement (en particulier pour les mats) J'ai retrouvé ceci sur le site du musée de la marine Contrairement au texte cité on m'en avait parlé pour autre chose que les résineux. Est ce que vous pensez que cela pourrait avoir un intérêt pour les arcs ? Quelqu'un a déjà essayé de tirer quelque chose de bois flotté ?
  7. Bonjour, Archer occasionnel , je souhaiterais me (ré-)inscrire dans un club. J'ai commencé il y a 4-5 ans dans un club, mais j'en garde des souvenirs mitigés. Je ne pratique que le tir sans viseur (incapable d'en utilisé un, plutôt à l'aise sans), et le premier club ou je me suis inscrit, à part 2-3 personnes qui m'ont initié, on ne peut pas dire que cela débordait de sympathie (club très accès arc "classique") , j'ai arrêté au bout d'un an, et n'ai plus pratiqué qu'occasionnellement en vacance. J'ai repris l'activité il y a deux ans à Tourcoing lors d'un stage d'un an.Bien que le seul à pratiquer de cette façon , j'ai par contre été très bien accueilli par toute la compagnie, un très bon souvenir. De retour sur Paris, j'ai du à nouveau arrêté l'année dernière pour raison d'incompatibilité d'horaire, entre autre. Je souhaiterais reprendre cette année. J'ai regardé un petit peu ce qu'il y avait dans le secteur et pour l'instant je suis assez attiré par les équipement de l'USMT, ainsi que par les horaires de leur jardin (7h-22h) quand j'aurais récupéré un niveau correct et eu leur autorisation. Je reste néanmoins très échaudé de ma première expérience et j'aurais aimé savoir si des archers avait des retours sur ce club ou d'autre à me conseiller sur Paris étant donné mon profil. J'habite dans le 11ème(10 mn de Nation) et travaille à Cergy-Pontoise (2h45-3h15 de trajet par jour) donc ce club est déjà à ma limite psychologique (le ral bol des transport...) d'éloignement (35-40 mn de trajet). Coté pratique, comme déjà dit je ne pratique que sans viseur, actuellement avec un arc de chasse, et j'aimerais assez passé au longbow.Je ne suis pas intéressé par la compétition pour l'instant (pas le niveau de toute façon...) Merci d'avance pour vos informations et/ou conseils
  8. Je ne pensais pas que vous utilisiez des moules ... Je n'en ai fabriqué qu'un seul (petit) et utilisé un autre. Comme agent de démoulage on utilisait de la cire (version meuble). Par contre 3 couches avec repos entre les couches. : Le plus dur était surtout de fabriqué des moules assez lisse. A ce niveau là, un matériaux pour faire des formes de moules simples : papier aluminium. C'est un truc utilisé sur les premiers modèle moderne de la coupe América . On prend une feuille (quelques milimètres d'épaisseur dans leur cas) d'alluminium on rejoint les deux bords d'un coté et on obtient la forme de base d'une coque moderne (tranchant devant , plat derrière) après il suffit de corrigé. Avantage de l'aluminium : les résines polyester y adhère mal.
  9. Je n'ai encore jamais fait d'arc et pas travaillé avec de l'epoxy. J'ai par contre travaillé plusieurs mois avec un professionnel sur de la réparation dans une école de voile avec composite et polymère (essentiellement polyester et fibre de verre). Il avait travaillé sur différent taille de pièce et matériaux avant (même s'il était spécialisé nautisme) notamment epoxy avec kevlar ou carbone et on en avait parlé pas mal, j'ai donc peut être quelques infos/conseils sur ce type de matériaux qui pourraient vous intéressées. - Comme déjà dit, la température ambiante est importante pour la vitesse de polymérisation celle-ci ne doit pas être exagéremment lente non plus , j'ai déjà dut utiliser un sèche cheveu en hiver mais je déconseille avec de l'epoxy normalement la température doit être stable si mes souvenirs sont bons. - Les résines : epoxy, polyester ... sont toujours le point faible d'un composite, il y a normalement un pourcentage conseillé par rapport au tissu (varie suivant le tissu utilisé).L'idéal (mais à moins d'avoir des copains dans l'industrie c'est difficilement envisageable) c'est de se procurer des tissus pré-imprégné (ça se conserve au frigo). -Utiliser un ébuleur pour virer les bulles et mieux répartir la résine (simple à fabriquer, trouver un rouleau de peinture entièrement métal et virer la mousse).En règle générale pour éviter d'en mettre trop on en met une bonne couche sur le premier tissus et on presse/reparti avec l'ebuleur sur les tissus qu'on rajoute par la suite.On ne rajoute un peu de résine que lorsque une couche ne semble pas s'imprégner.C'est un coup de main à prendre mais avec l'habitude on n'ajoute la résine qu'une fois (en tout cas c'est comme cela que je travaillais sur polyester/fibre de verre) - il n'aimait pas trop travailler avec de l'epoxy parce que c'était des conditions assez précises à respecter pour une bonne polymérisation (par rapport au polyester) : il faut un taux d'humidité dans la pièce assez précis et l'idéal c'est que la polymérisation se fasse sous vide (scotch, bâche en plastique et pompe) sans doute moins complexe à mettre en oeuvre avec un arc mais je vous laisse imaginer le m****er quand la pièce est une coque de bateau de plusieurs mètres. - En effet les dosages de réactifs sont TRES précis . Pour donner un exemple avec du polyester et le réactif qu'on utilisait (péroxyde de fer dans mes souvenirs) le dosage tournait entre 2-3% en dessous ça ne polymérise pas, quelques pourcentages au dessus et vous découvriez les joie de la combustion, inverser les proportions...apprenez à courir très vite (et ce n'est pas une blague), faire attention au niveau du stockage donc.Je ne connais pas les effets des dosages avec de l'epoxy mais faites gaffes quand même.Par contre certains réactifs/résines sont "chargé" en colorant ce qui fait que le mélange change de couleur dès que le bon dosage est trouvé, ça dépend du fabricant. - faîtes attentions aux autres produits que vous utilisez en même temps, même s'il ne sont pas en contact ,surtout s'ils sont volatiles. Une anecdote : dans un chantier navale ils fabriquaient une coque, malheureusement quelqu'un avait oublié de refermer un bidon de solvant (white spirit je crois) .Résultat, quand ils ont voulus démoulé la coque ils ont récupéré un mille-feuille de fibre de verre.Il y avait bien eu polymérisation mais les solvants contenus dans l'air avait empêché l'accroche avec les tissus. Il y avait un "Que sais-je?" sur les matériaux composites, je le conseille à ceux que cela intéresse J'espère que certains trouveront ces informations utiles
  10. Très intéressé par l'initiation, je tire (ais :( , arrêter depuis 1 an suite à incompatibilité d'horaire, mais je devrais m'y remettre en septembre) avec un recurve chasse de 55 lbs et ça fait un moment que je rêve d'essayer un longbow. Par contre pour poser des questions c'est par le lien contact du site? Même en français ? Non parce que s'il faut poster en anglais je le ferais, mais cela va être beaucoup moins clair
  11. Bonjour, le sujet n'est pas récent mais la question des bois protégé est peut être encore pertinente Je joint un extrait de l'annexe de la convention washington, la partie sur la flore qui devrait répondre aux interrogations (elle est bien trop complète mais je n'ai pas les connaissance pour faire le tri :oups: ) J'espère que cela vous la trouverez utile car cela m'aurait alors permis une petite contribution sur ce site qui m'a appris tant de choses . :) Colonne I : tout commerce interdit Colonne II : reglementé, demande de permis cites Colonne III : commerce sous surveillance à la demande des états concernés Annexes I, II et III.doc
  12. le livre: "La révolution industrielle au moyen age" de Jean Gimpel collection point histoire
  13. Si les sources de ce bouquin sont exacts (et je n'ai pas de gros doute sur le sujet),l'arbre à came est une invention de l'antiquité, on retrouverait sont utilisation dans les ateliers de certains forts très isolés (et manquant de main d'oeuvre). Néanmoins pour des raisons de "cohésion sociale", ce type d'outils qui remplace une grosse main d'oeuvre n'a pas été diffusé.Se posait la question de quoi faire des ouvriers inutiles , et dans le cas de l'antiquité, des esclaves en particuliers. Les révolutions industrielles (telles qu'il y a faillit en avoir une à l'époque médiévale*) laissent rarement sereine les structures sociales. Elle est ré-exploiter massivement à partir du XIII ème je crois. Quant à savoir si c'est une redécouverte complète ou s'il trainait encore quelques exemplaires anciens.... * la Guerre de 100 ans mais surtout la Peste et les famines consécutives y ont mis un point d'arrêt
  14. Si je peux me permettre , on sous estime gravement la technologie du moyen-age quand on parle d'artisans pour ce type de commande. Dès le XIV(XIII ?) ème on maitrise l'énergie hydraulique, ce qui permet , pour des métier comme le tannage, le tissage, ou la forge d'avoir des outils (métier à tisser,marteau etc...) entrainer par la puissance des rivières (c'est l'époque du "pétrole bleu").Sur ce point on peut noter que de nombreux croquis de Léonard de Vinci ne sont pas ses inventions mais des "souvenirs" de ses différents voyages. Il me semble que L'abbaye de Fontenay en Bourgogne est un exemple de ce type de forge. J'avais acheté un livre, edition point histoire je crois, qui faisait la synthèse des technologie de cette période.J'essaierais de le retrouver pour vous donner ses références si cela intéresse certains.
×
×
  • Create New...