xavion

Merci pour cette réponse, je vais aller voir les plans. je sais bien que le travail du bois n'autorise pas l'erreur (peut-être moins que le métal), mais j'ai un peu d'outillage et un peu de pratique pour le bois et rien pour le métal.

Salut Owl très impressionné par tes réalisations, j'ai cherché à voir toutes les arbaletes que tu avais présenté sur le site. La petite que tu présentes ici est moins impresionante que la "deux coups" ou l'arbalete à jalet mais justement, elle semble à la portée d'un qui voudrait s'essayer à bidouiller une petite arbalete (moi par exemple). Tu voudrais pas mettre deux mots d'explications STP ? Merci d'avance bon, je constate qu'en faisant "répondre", on a le message initial mais pas la photo : il s'agit d'une petite arbalete en bois, vraissemblablement avec un magasin permettant de stocker plusieurs carreaux et, si je ne me trompe pas, un système digne de la winchester de Steve Mac Queen pour tirer des quasi rafales.

Gaucher à l'arc, à l'écrit et dans la vie. Donc, forcément ambidextre vu le nombre hallucinant de choses que ce monde de droitier nous oblige à faire avec la mauvaise main.

Au risque de faire hurler (de rire ?), et après avoir usé du moteur de recherche (qui me renvoie à une myriade de références citant le terme en question sans le définir), je me décide à poser une question qui doit faire parti du B-A BA de l'archer classique ayant apris à tirer dans une structure fédérale : le pianotage ... quesaquo ? ouala. Bon Noël à tous.

quésaquo un "robin" ? De toutes façons, un "robin", un "martin" ou un "tagadatsointsoin" ça compte comme on veut, l'important c'est de décocher des flèches. Bon, sinon pour revenir dans le thème, moi aussi je suis un total instinctif. Quand je veux être certain à 100% d'atteindre la centre de la cible, je pose mon arc et je plante moi-même ma flèche avec ma petite mimine, pile poil là ou je veux qu'elle soit plantée. C'est très précis, mais absolument pas satisfaisant pour l'ego. En ce qui me concerne (ce qui signifie que ça n'engage que moi, prière de ne pas y voir un jugement à l'encontre des autres types de pratique), les différents accessoires permettant une meilleure réglarité dans les tirs sont des freins à mon plaisir. Même les techniques de visée "non appareillées" mais nécessitant un alignement entre deux points (pointe de flèche ou autre et la cible), me défrisent parce qu'elles supposent une intelectualisation du tir. Par contre, c'est vrai que ce point de vue est un chouilla radical. Et c'est vrai aussi qu'il nécessite une pratique très importante, avant d'arriver à des résultats "moyens" pour un compétiteur, ou "irresponsables" pour un chasseur. Je pratique de cette façon parce que l'enjeu lié à la précision de mon tir n'a jamais excédé la crainte d'avoir à payer l'apéro en cas de défaite à la pétanque N'empèche ... parfois une flèche sort de l'arc comme un rêve. A l'instant précis de la décoche on sait qu'elle va voler parfaitement et qu'elle touchera le point précis qu'on voulait lui faire toucher. Et elle vole parfaitement, et elle se plante exactement là ou elle le doit. C'est le panard intégral !

Hé bé non ! Tu connais pas la pétanque à l'arc ? C'est comme avec des boules mais c'est pas avec des boules. 2 petits blasons, un pour pointer et un pour tirer. - Le premier archer (celui qui "lance le cochonet") choisit la distance, puis il tire sa première flèche dans le blason "pour pointer". - le second tire à son tour. Comme à la pétanque, c'est celui qui n'a pas le point qui tire à nouveau. A chaque tir, le joueur a le choix : soit il pointe (il vise le blason pour pointer), soit il décide de "tirer" la flèche de son adversaire. Dans ce cas il doit l'annoncer, puis il vise le blason pour "tirer". S'il fait un "grand jaune", c'est l'équivalent d'un carreau : ça lui permet de retirer la flèche de son adversaire de la cible ; s'il fait un "petit jaune", c'est comme un "carreau sur place" : il retire la flèche de son adversiare et met la sienne à la place. Quand toutes les flèches sont tirées on compte les points, le gagnant de la manche choisit la nouvelle distance de tir et ça recommence. Comme avec les boules : - on joue en 13 points - il faut deux points de différence pour déterminer le vainqueur - on est fanny à 7/0 - on peut jouer en équipe - on rigole - on vise mais on ne se prend pas au sérieux. Bref, c'est bonnard, je vous le conseille.