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buckybuke

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  1. ...merci pour ces infos. Entr temps, j'ai consulté mon neveu ingénieur en aéronautique, qui m'a renseigné sur les vitesses atteintes en "chute libre", les résistances. On a travaillé sur les glaçons qui pourraient relier carreaux et balons (idée donnée par qq d'autre) et ça semble amrcher. Avec ce qui est dit ci-dessus, ça me suffit presque, reste à faire l'expérience du temps de fonte de glaçn, qui donnera l'altitude atteinte par les ballons. Merci !!!
  2. Un tuyau, SVP : un club de tir à l'arbalète sur Toulouse ? Au CREPS (avec Muller ?) sinon j'invente, mais c'est dommage...
  3. la pointe sera un peu plus lourde que pour des carreaux "industriels". mais il faut garder cette idée d'un carreau d'arbalète, qui nécessite un lanceur... Donc le carreau va rester entier et rebondir, sur un sol dur ? pas de projection d'échardes ? Ça traversera bien un toit de tuiles en emportant un peu de plâtre qui est juste dessous ? le toit d'un Espace et le plancher du coffre (sans la planche cache bagage), pour s'arrêter au réservoir ? le fond d'une barque en "plastique" ? et toute cette sorte de choses ? Quand aux statistiques, vous avez en principe raison. Sauf que statistiquement on doit avoir un accident tous les trois ans (chiffre donné au hasard, bien sûr) - que certains en ont trois d'affilée, et d'autres jamais... Par ailleurs, j'ai déniché un club d'archers à Carcassonne, mais pour le tir à l'arbalète, quel serait le club le plus proche de cette ville (vers l'ouest, plutôt ?) : un tireur servira de première expertise à la gendarmerie, avant la mobilisatin du laboratoire de balistique. Encore merci !
  4. Merci pour la suggestion du fer, c'est effectivement une bonne idée, mais : - il faudra bien s'en procurer de façon continue, donc ça risque d'être plus facilement repérable, peut-être, ("il" en envoie un ou deux chaque nuit...). Du bois oeuvré à la maison sur un petit combi, n'importe quel fer, forgé pour la pointe, c'est pas identifiable (à moins d'avoir deux exemplaires sous les yeux, mais il se produira un certain temps avant que l'inspecteur curieux dont j'ai parlé fasse enfin le rapprochement). - deux ballons ordinaires de baudruche emporteraient-ils un tel poids (trois, alors) , et suffisamment loin ? - le carreau d'arbalète oblige d'abord la présence d'un tireur (que l'on va chercher, vainement, c'est ça le "rigolo") et un tir en l'air, avec le carreau qui retombe presque à la verticale ; alors qu'avec un fer à béton, quand on va attaquer qq'un, on va planter horizontalement dans le ventre, la poitrine, le dos, voire de bas en haut ; si le fer est planté dans le haut du crâne, verticalement donc, puisqu'il n'y a pas de géant (!) ni d'appareil à jeter en l'air 80 cm de fer à béton (faudrait un sacré propulseur...) on va immédiatement penser à un truc tombé d'en haut, d'un étage, d'un truc qui surplombe, voire d'un avion... Autre avantage du carreau, c'est qu'il va éclater, quand il va tomber sur du dur, donc plus "anonyme". En revanche, la ficelle pourrait-elle servir d'empennage pour le carreau de bois ? Elle pourrait même servir d'oeillet, dans lequel enfiler le fil soluble (que je vais définitvement retenir, trop bien !...) Petit à petit, ça avance ! PS : pas question de confondre blessure par carreau et par balle, bien sûr. ""Balle perdue", c'est une expression, pour ne pas répéter "carreau perdu" Et pourquoi "s'embêter", aussi ? passque mon gars est un peu à la masse, aussi !
  5. ... c'est donc au pilote que je m'adresse, en retenant pour le moment le principe de deux ballons de baudruche transparents reliés par un fil de pêche soluble à l'eau (20 secondes en immersion). Exepté les jours de pluie évidemment (pour le lancer, et encore, s'il veut parfois frapper à proximité...), y a-t-il suffisamment d'humidité dans l'atmosphère pour envisager que le fil se dissolve au bout d'un certain temps ? Ce serait l'idéal ! Je répète que l'assassin-fou n'a aucun souci de rentabilité. Pisqu'il est fou.. il veut juste qu'un engin plus ou moins meurtrier tombe du ciel, à n'importe quel moment, n'importe quel endroit, pourvu qu'on ne puisse pas identifier la provenance. Vengeance aveugle et patiente. Dans l'histoire, en deux trois ans, il n'y aura pas plus d'une vingtaine de carreaux récupérés. Mais deux ou trois sur quelqu'un (avec 2/3 morts) ; un à travers une maison ; un qui se plantera dans une voiture (sans mettre le feu, j'ai compris) un qui fera couler une barque (et pas une péniche), etc... L'essentiel n'est pas dans la "rentabilité", mais dans l'enquête ensuite qui va permettre, en rapprochant des faits très éloignés, de circonscrire la personnalité du fou, puis sa localisation... En tout cas, entre le fil soluble et les fléchettes de 14/18, j'aurai au moins appris des choses dont je ne soupçonnais même pas l'existence !
  6. comment dois-je prendre cette question ? - si elle fait allusion à mon propre état mental, cela manque d'élégance (modérateur ???) - si elle concerne plutôt (j'espère) l'intrigue du roman, voir les messages plus haut : c'est celui appelé "l'assassin". mais quoi qu'il arrive, cette question ne fait avancer le mish, le shim, blickish, enfin, le carreau, quoi.
  7. Je sens poindre la moquerie. Huh huh huh, rions donc ! c'est comme ça qu'en avance. Je précise : le fou ne vise personne en particulier. Que ça tombe en Vendée, dans les Corbières ou le Saskatchewan : rien à faire. Il lance la nuit. Il FABRIQUE Lui même. Les ballons de baudruche se vendent par paquets de 100 ou 200 ! il se fiche du temps que ça prend, il a fait 15 ans de tôle, il mettra le temps qu'il faut pour toucher qq. [Avez-vous lu l'homme aux cercles bleus de Fred Vargas (titre exact ?). ] Quand un rocher ou un arbre tombe sur une bagnole qui roule : quelle probabilité ? Et pourtant : ça arrive (malheureusement !). Un peu plus convaincus ??? quant au fil soluble, combien de temps ça va tenir en l'air ? Merci en tout cas pour "l'étude de chute". Mais je pense que les ballons iront bcp plus loin avant de crever ou de se dégonfler (ou que le fil soluble fonde, héhéhé).
  8. Ben si, à partir du moment où il n'est plus accroché aux ballon. Il va bien tomber à la verticale !
  9. ??? Quelle carcasse ? Un ballon de baudruche, c'est mou ! et ça passe à travers l'oeillet (qui doit faire 2 / 3 cm de diamètre). Mais l'idée du fil soluble qui finira bien par fondre est géniale, merci, je me documente !
  10. mais il se fera repérer un jour ou l'autre !!!
  11. Maintenant, ça doit faire deux CENT (évidemment !!!) pages !!!
  12. Faut tout dire... DEUX ballons reliés entre eux par un fil nylon. L'un plus gonflé que l'autre (par ex). Donc l'un (j'attends une réponse d'un fabriquant...) pète d'abord tandis que l'autre continue de porter. Le carreau est accroché au fil (le fil passe dans un gros oeillet). Donc, quand il n'y a plus qu'un ballon qui porte, forcément le poids du carreau fait qu'il tombe, même si le fil s'est emmêlé (encore qu'il n'y a pas de raison pour cela) Voilà !!! La chute se produit de façon effectivement très aléatoire. D'où un très faible taux de réussite, c'est vrai. Mais en même temps : "il" fait un voire deux lancers chaque nuit, pendant deux ou trois ans ; rien ne reste attaché au carreau, donc quand on récupère le carreau (s'il ne s'est pas explosé sur du dur), on ne sait VRAIMENT pas d'où il tombe - sinon du ciel, d'où une certaine panique qui va s'emparer "des populations" quand on saura, au bout d'un certain temps, qu'il s'agit du même phénomène qui se répète... Et quand on retrouve finalement les deux ballons crevés, ou dégonflés, c'est bien plus loin que l'endroit où le carreau est tombé !!! Donc aucune relation possible entre carreaux d'un côtés, et cadavres de ballons (qui de surcroît seront transparents, pour être + difficilement repérables du sol). [Deuxième solution, un ballon est crevé d'avance et se dégonfle très doucement (certains ballons sonde météo fonctionnent comme ça...)]. Par rapport à la dernière réponse : "mon carreau" (comment on finit par s'exprimer...) en bois, donc, 40 cm, pointe en fer forgé (aucune marque de fabrique : aucun moyen de localiser, par rapport à une boule de pétanque, par ex, industrialisée et comercialisée), empennage en cuir, va-t-il finalment traverser le toit d'une voiture, le crâne d'un humain de part en part ? (ça fait partie de la première énigme : la première victime était à genoux, à son jardin. Le carreau le frappe donc derrière la tête et non dessus : comme s'il qq lui tirait dessus alors qu'il est debout : on ne soupçonne donc pas, la première fois, que la mort vient du ciel. Mais question importante... ça traverse ou pas ? Si ça traverse pas, c'est plus facile. Mais imaginons que ça traverse... Le carreau se sera fiché ensuite dans la terre, verticalement. Comment se fera-t-il alors que quelqu'un ait pu être frappé debout par derrière, mais que le carreau soit fiché dans la terre, juste sous sa tête ? (excusez-moi d'être aussi morbide...)Tatatan. Ce qu'un premier gendarme ne verra pas tout de suite (et on concluera qu'il s'agit d'une "balle perdue", sans jamais trouver le tireur), mais que l'inspecteur curieux dont j'ai parlé remarquera en reprenant l'enquête ! Ouf ! suis-je assez clair (et qq est-il allé lire mes nouvelles ?) Merci encore, j'attends la suite avec impatience. Les ballons selont lâchés toutes les nuits, saufs grande pleine lune (et encore) d'une colline très isolée sans habitation alentour. Deux ballons et 100 g de carreau, ça devrait monter assez vite. Et on devrait assez vite ne plus distinguer le carreau du sol (au cas bien improbable où un couple d'amoureux se serait égaré à trois heures du matin sur le chemin d'accès - encore qu'ils auront autre chose à faire que regarder les étoiles... Il y a cent ans, je dis pas, mais auj...). Voilà, vous savez presque tout. Maintenant, ça doit faire deux pages !!!
  13. D'abord, je rassure : oui, c'est un roman. C'est pour ça que je donnais un site (SEREST) où quatre de mes nouvelles sont éditées. Avec mon nom. Ensuite, me voilà, pour la vraisemblance, obligé d'en dévoiler un peu plus : c'esrt deux ballons gonflés à l'hélium qui transporteront à chaque fois un carreau d'arbalète. Plus facile à fabriquer qu'une flèche d'arc, plus lourd, plus solide, peut-être moins sujet au vent (donc à tomber incliné), sans doute plus pénétrant (même si bcp moins que ce que j'imaginais) Bien sûr, ça tombe où ça peut. En deux trois ans, avec un ou deux envois par soir, ça va pas donner grand chose. Il y aura bien un, deux, trois, morts, au hasard, des incidents, mais tellement lointains les uns des autres (à cause du vent) qu'il sera impossible de détecter "l'assassin". Sauf à tomber sur un inspecteur un peu plus curieux, qui fera une enquête sur un truc tombé du ciel, demandera une expertise balistique... mais se demandera bien comment on peut tirer en pleine ville vers le ciel sans se faire repérer par personne... puis qui fera le rapprochement avec un autre accident survenu à 200 km de là : un retraité qui a pris un carreau en pleine tête, mais par le haut, et on n'a pas retrouvé non plus de tireur... l'assassin est un gars qui a fait quinze ans de tôle pour un crime qu'il n'a pas commis : sa femme a été assomée par un météorite. Mais comme ils étaient sur le point de se séparer, personne n'a cru qu'il n'y était pour rien, et c'était tellement évident qu'on a cru qu'il l'avait assassinée avec un caillou : pas d'autopsie. en prison, il a eu le temps de ruminer une vengeance... voilà, l'essentiel de l'intrigue est dévoilé. Je ne sais pas si je serai édité un jour... merci en tout cas pour les réponses. Je découvre un domaine que je ne conaissais pas. Et peut-être le pilote d'hélico pourra-t-il me renseigner sur les courants...
  14. ... en l'occurence, ce sera "largué" individuellement, pas d'un B52, mais entre 3000 et 8 000 mètres d'altitude. Fabrication artisanale, avec un fer un peu plus lourd que de coutume, puisqu'on n'a pas le problème de l'énergie nécessaire au départ, et qu'on ("l'assasin" souhaite faire le plus de dégâts possible, sans toutefois qu'on puisse retrouver sa trace par l'intervention d'un produit chimique, par exemple... Merci pour toutes les réponses.
  15. Bonjour. Je suis totalement novice. Peut-être cette question est-elle déjà traitée, mais je ne sais pas chercher.... Pour les besoins d'un roman, je voudrais connaître la capacité de pénétration d'un carreau d'arbalète. On a dit tellement de choses... Avec ceci de particulier que le carreau ne serait pas lancé d'un propulseur, mais jeté d'un avion. Donc, je précise : (car j'ai vu qu'il y avait des matheux parmi vous !) un carreau de 40 cm, section 1 x 1 , pointe forgée plus lourde que la normale (puisqu'on n'a pas à la jeter) et empennage en cuir. - il va tomber vertical ? (j'espère, autrement toute mon intrigue se fiche par terre). - à quelle vitesse va-t-il arriver au sol, (jeté à 3 000 m et à 8 000 m par exemple) ? - Sur un homme allongé : ça traversera le crâne, bien sûr. Mais ça va l'éclater , ou laisser un trou, et de quelle dimension ? ça va se ficher dans le sol, ensuite, mais à quelle profondeur ? - Sur un homme debout, va-ce le traverser et se ficher dans le sol ? - Sur une voiture : ça traversera le toit de la carrosserie, bien sûr aussi, mais est-ce que ça pourra traverser le réservoir et y flanquer le feu (suite à la chaleur sur le fer à l'occasion des deux impacts, par ex). Ça va ensuite se ficher dans le sol. Quelle profondeur ? - sur une péniche (eh oui !) : est-ce que ça pourra traverser un pont avant en bois, puis percer la coque métallique dessous ? Quelle dimension pour le trou sur le pont, puis dans la coque ? - dans une maison : ça pourra traverser le toit, un plancher, puis éclater sur une dalle bétonnée et carrelée ? en éclatant en 10 000 échardes, le fer sera écrasé dans un cratère : de quelle dimension ? - sur de la terre normalement meuble : à quelle profondeur ? - sur du rocher, du béton : ça éclate, et on devrait retrouver la trace de l'impact et le fer fondu, non ? - sur du goudron ? Etc et tous les exemples que vous pourriez m'indiquer. Avec mes très vifs remerciements. PS : bien entendu, si vous le désirez, je pourrai citer toutes les sources et tous les auteurs, comme je l'ai fait pour d'autres bouquins (voir le site SEREST, où 4 nouvelles sont publiées)
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