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Nothung

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Visiteur occasionnel (2/11)

  1. Si une personne m'a donné une réponse, il n'y avait pas besoin d'autres renseignements. Maintenant, c'est vrai, c'est gentil de la part de 20-15 de me répondre, mais avec un "bonjour" et un "s'il te plait", ce serait tout de suite plus poli, et avec une ponctuation et un peu de considération, ce serait même mieux. J'imagine que si il voulait savoir tout ça, c'était pour me donner la solution exacte à mon problème, ainsi il aurait pu me dire exactement quoi faire mais ce n'est pas ce que j'ai demandé, je voulais une réponse à la question que j'ai posée, simplement. Je suis jeune et je m'y connais pas beaucoup en archerie, mais ce n'est pas pour autant que je suis un autiste, je peux me débrouiller seul : si je voulais un calcul précis en fonction de puissance, poids, allonge, etc, je l'aurais demandé et les aurais donnés.
  2. Merci Deudtension. Dommage pour mes jolies pointes :( Il n'y a rien que vous ne deviez savoir de plus. Je ne vous ai pas demandé de régler mon problème, je vous ai demandé si un poids supplémentaire me permettrait de régler mon problème. J'ai déjà eu la réponse. 20-15, si vous n'avez pas envie de me répondre, ne répondez rien au lieu d'essayer d'envoyer des piques vaseuses. Et si ça vous plait pas, vous n'avez qu'à vous dire que j'suis un sale con, comme ça ça vous rendra pas plus intelligent mais vous aurez bonne conscience. Au plaisir.
  3. Bonjour à tous J'ai un petit problème de spine : j'ai des fûts bois qu'un gars m'a filés, 22 en tout, mais je ne sais pas quel est leur spine. Je tire en gaucher, donc la flèche est sur la droite de l'arc, et les flèches se barrent sur la droite lorsque je tire. Le spin est-il donc trop élevé ou trop faible ? Aussi, est-ce qu'il y a un moyen de modifier le spine, par l'adjonction de poids ou un autre moyen ?
  4. Quoi donc, une aile d' A380 ? :109:
  5. bien, merci à tous. En parlant de préhisto-compatible, une pointe en os, est-ce que c'est vraiment solide ? je me suis toujours demandé si les pointes en obsidienne ou en os étaient réellement capables de supporter un tel choc que celui de l'impact de la flèche contre la cible
  6. à vrai dire, j'ai du double face prévu pour ça, mais je ne savais pas si c'était possible de l'utiliser pour des plumes naturelles. De plus, comme je ne m'en suis jamais servi personnellement, je ne savais pas si il fallait y adjoindre une colle quelconque. merci pour votre réponse
  7. Bonjour à tous J'ai une vingtaine de fûts de bois, une soixantaine de plumes naturelles, un taille-fût et autant d'encoches qu'il en faut (un peu plus, même, au cas où j'en bousille quelques unes). J'aimerais me fabriquer, donc, mes propres flèches, et voila ce qu'il me manque : une empenneuse, de la colle, des pointes, et du tendon. Les pointes, j'en fais mon affaire, je pense prendre des bodkin. L'empenneuse aussi, le tendon je l'ai trouvé sur monarcherie.com. La colle, donc... je ne sais pas laquelle est plus adaptée pour coller les plumes, les pointes ou les encoches, laquelle est la plus efficace, et j'aurais aimé vos conseils. La fonction recherche m'aurait bien aidé, mais à vrai dire, ce que j'ai pu lire m'a trop peu aidé, car j'ai surtout besoin de savoir où trouver ces matériaux. Je ne recherche pas le moins cher mais simplement le plus efficace et là où le trouver. Merci d'avance à tous, et bonne soirée
  8. Pour revenir à l'origine de la forme d'un tel arc, vous dites que ça vient de branches simples, qui, pour avoir un certain équilibre, devaient être tenues sur le tiers inférieur, et donc être grandes pour ne pas poser certains problèmes inhérent à une telle prise. J'ai entendu une autre version : parce que ce type d'arc est l'arc du samuraï, qui est avant tout un seigneur et donc un cavalier, l'arc devait s'adapter au tir à cheval. En ayant un arc long, c'est impossible, ou très difficile, car le cheval est un obstacle. On excentre donc la poignée au tiers inférieur, de façon à garder un arc d'une grand longueur, mais en ne gênant pas le tireur. Il peut alors toucher une cible mouvante, en passant l'arc au dessus de l'encolure du cheval sans avoir à désarmer son arc, ou à faire une manoeuvre complexe et déséquilibrante. Il peut aussi bander son arc sans que la corde ne soit bloquée par la cuisse du cavalier ou par le cheval, sa selle, les sabres du cavalier ou son carquois, puisque l'arc est bien plus haut. Si les arcs étaient fabriqués à partir de branches simples, on en serait restés à des arcs "relativement" courts (moins de 2 mètres, quoi, style longbow, bien inférieur à ces arcs asymétriques). Les japonais connaissaient les arcs "court" et symétriques comme les arc européens, qui étaient les arcs des piétons et des femmes chez eux. L'arc asymétrique est réellement l'arc du cavalier, du seigneur.
  9. Ne déformez pas mes mots pour vous donner raison. Pas des études de balistique, mais des études concernant la balistique. Je doute qu'un diplôme de balisticien existe réellement, ou alors c'est dans la criminologie, ou la conception armurière que l'on aborde ce genre de choses... Je lis, simplement, des revues armurières, je teste moi même telle munition avec telle charge de telle poudre, dans tel canon, avec telles rayures, je détermine les caractéristiques de ces munitions, j'ai déjà assisté à tes tirs dans des blocs de plastiline servant à examiner l'effet produit par un couple charge/munition. Monsieur, ne croyez pas que le savoir est réservé à une élite dont vous pensez faire partie. Aussi, le milieu en question est simplement celui des amateurs d'armes. Depuis tout petit, je ne fréquente que des policiers, des militaires, des professeurs d'art martiaux, des reconstitueurs, des compagnies médiévales, des tireurs, des collectionneurs. Les gens, en général, se foutent complètement de ce qui intéresse leurs voisins, et moi j'ai eu la chance d'avoir des voisins qui ont eu les mêmes passions que moi. Je doute appartenir à un milieu plus spécifique qu'un autre, j'ai simplement un rapport avec certaines personnes qui n'est pas celui de tout le monde. Entre les "non violents" qui assimilent les armes (et donc le tir de loisir dans mon cas) au meurtre (pourtant je ne fais que des trous dans des bouts de papier :bhaoui..: ) sans réfléchir, et ceux qui s'en fichent parce qu'ils s'intéressent à autre chose, fatalement, quand je rencontre une personne qui aprécie les mêmes choses que moi, elle fait partie de ce même milieu, et alors, enfant, j'ai appri, et on ne cesse d'apprendre avec le temps mais il arrive un point où l'on sait assez de choses pour considérer que l'on maitrise le sujet, du moins assez pour en parler sans devoir se justifier, car beaucoup de monde me demande de me justifier, mais qui se soucie de se justifier, parmis vous, quand bien même ait-il raison ? je ne cherche pas à savoir qui aura raison, ou qui sera le plus intelligent. Tout le monde s'en fout et ça ne créée que conflit sur conflit. Non, je cherche simplement à pouvoir parler librement d'un sujet qui m'intéresse. Cessez cette inutile joute verbale, et cherchez à savoir si j'aurais trouvé un intérêt à sortir des conneries devant un forum de gens quej e considère comme des connaisseurs. Peut-être, Ishi, fréquentez vous un milieu plus "spécial" que le mien.
  10. et bien, en ce qui concerne les balles expansives, deux choses : les JHP utilisée à la chasse s'expansent à l'impact et créent pluseurs griffes, souvent 6, qui tranchent les artères, et alors on tire au niveau du coeur, comme à la chasse à l'arc. le projectile est assimilables aux lames que l'on utilise comme pointes sur les flèches de casse. Les JHP utilisées à la guerre sont différentes : elles ont ceci de particulier qu'elles ne se déplient pas sous forme de griffes qui tranchent, mais de, plutot, s'écraser comme un fruit lancé sur un mur. la "pointe" de la balle devient un projectile plat qui a une taille 2, voir 3 fois suppérieure au diamètre initial de la balle. la perforation est très réduite, et alors la balle rentre et ne traverse pas. ça a aussi l'avantage de frapper de nombreux os à la fois, et de créer, avec ces bouts d'os qui giclent partout, des projectiles "secondaires". Et là, on se rapproche des ogives pour la chasse au gros gibier, qui ont le "trou" caractéristique des ogives JHP rempli de plomb, qui sert, entre autre, à retarder l'expansion de la balle, de façon à ce qu'elle perce d'abbord le cuir puis s'expanse à l'intérieur de la victime. Cela ne itent pas de la légende urbaine, car je suis tireur depuis de nombreuses années et j'ai fait des études concernant la balistique. Aussi, je fréquente un milieu rempli de personnes que peu de gens, de mon âge ou d'un autre, connaissent sous l'angle où moi je les connais. Je n'ais pas toujorsu raison (hélas :( ) mais je m'efforce de ne parler que de choses que je connais relativement bien. Bien sur, les balles expansives sont interdites à la guerre par la convention de Genève... tout comme les grenades à fragmentation (les "ananas" ont maintenant été remplacé par des grenades dont le corps et lisse et qui, donc, ne se scinde pas en de nombreux morceaux de métals à l'explosion (c'est la découpe en petits carrés qui fait des grenades que lon surnomme les ananas des grenades dites "à fragmentation"), elles ne sont donc plus, en apparence, à fragmentation et pourtant leur corps est fragmenté par des machines dès la fabrication, pour qu'elles soient "à fragmentation" sans en avoir l'air), ainsi que de tuer des otages, des civils, violer les femmes et piller le pays attaqué :) Soyons lucide, personne ne respecte la convention de Genève... tout le monde s'en fout, et tout est bon pour foutre sur la tronche à son prochain, bien malheureusement... Vous vous souvenez de ce pape qui avait interdit l'usage d'arbalète ? d'abord contre les hommes sauf les Sarasins, puis contre toutes les "races" d'hommes... et pourtant, ça a pas empêché les joyeux assassins de l'époque d'en faire un usage massif... Après tout, nous ne sommes que des hommes... Veuillez m'excuser mais je n'ai pas sous la main de preuves écrites et véridiques de ce que j'avance, je dis tout ça de mémoire, alors laissons là le débat, à bon entendeur. Croyez seulement que je n'ai pas commencé à polémiquer pour faire mon intéressant. Sans ça, cette épée, bien que joliement faite, ne me plait pas. trop de fioritures, trop peu historique... elle ferait une belle épée d'héroic fantasy, mais elle n'est pas faite pour moi, assurément.
  11. L'estoc ne tuait pas nécessairement, c'était d'ailleurs le gros problème à la renaissance : l'épée de taille perdait de sa popularité, et les rapières étaient de plus en plus fréquentes. On a souvent lu des récits d'hommes ayant reçus une vingtaines de coups d'estoc, et toujours debout, et au final, c'était de vrais massacre : de chaque côtés, 5 hommes s'entretuent à coups de rapières car un coup d'estoc ne tue pas, et quand il tue, ce n'est pas tout de siute : les combatants avaient le temps de frapper alors qu'ils avaient déjà une lame dans le ventre, et ça continuait jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que les hommes d'une des factions debout, qui finissaient par mourir après 2 semaines à se faire soigner en vain. Un coup de taille bien placé coupe os, organes, muscles. Les japonais, pour tester leurs lames, coupaient en deux des prisonniers. Deux frappes, au kendo, sont appelées "petit moine" et "grand moine". le petit moine va de l'épaule droite au pancréas, à peu près. le grand moine, lui, va de l'épaule gauche à la hanche, tranchant totalement en deux le victime. Ils tirent leurs noms de la façon dont les victimes tombaient : à genous, comme des moines en prière. On a trouvé dans de nombreuses tombes d'hommes accrochées à leurs chevaux par des flèches, et dans d'autres des hommes tranchés en deux totalement ou jusqu'au diaphragme. On trouve régulièrement ce genre de "pièces" dans les cimetières médiévaux, et j'ai moi même vu ça grâce à une personne que je fréquentais à l'époque, étudiante en archéologie. Violet le Duc, dans son encyclopédie médiévale, raconte ce genre de choses. Je vois bien venir les détracteurs dire que Violet le Duc n'est pas fiable, mais en attendant c'est la source qui nous en a le plus appris sur l'histoire médiévale, et tout ce qui a pu être prouvé par une mise en pratique "comme à l'époque" s'est trouvé être véridique. Aussi, ne demander pas pourquoi on ne voit pas ces corps dans des musées, car dans un musée, quelle que soit la façon dont est morte la personne, on ne présente pas son squelette dans une vitrine. Seuls des vestiges ficilisés comme Lucie y sont représentés, et encore, c'est rare. Les hussards, les dragons, n'avaient pas toujours des sabres très affûtés, voir même pas affutés du tout. Je possède une Latte, un sabre droit de cavalier (hussard ? dragon ? ça m'échappe ) du XIXè siècle et c'est un simple barreau de métal, relativement souple, effilé, mais pas affûté pour un sou. Vous voyez, la taille n'était pas l'essentiel du combat à l'arme blanche de l'époque, et si on les avait traités de bouchers, c'est, en effet parce qu'ils avaient utilisé l'estoc : au lieu de tuer d'un coup, de faire des morts, ils condamnaient leurs victimes à la souffrance, d'abord, puis la mort, ensuite, en causant les lourds dégats et les blessures profondes et trop souvent impossibles à soigner caractéristiques de l'estoc. En effet, à l'époque, alors qu'un mort prend deux hommes et vingt minutes, en ne coutant presque aucun argent, un blessé coute beaucoup d'argent, mobilise au moins 5 personnes et deux semaines de soins intensifs et délicats... avant de mourrir. C'est un principe toujours d'actualité, puisque les balles dites "dum-dum" ou JHP, sont expansives : elles font des dégats lourds, mais ont un pouvoir vulnérant et perforant très limité, ce qui ne tue pas la victime, ou alors pas tout de suite, tout en l'empêchant de continuer le combat, et en mobilisant des ressources humaines et pécunières importantes, dont un état en guerre se passerait bien. Le vingtième siècle n'a pas tout inventé. Les stylet, couteaux non tranchants à sections carrée ou triangle étaient l'arme de la dernière chance : lorsque l'on était tout près de la victime, et que la mort était proche ou certaine, on sortait cette arme et on lardait l'ennemi de coups. les blessures, fines, profondes, perçaient la peau, les muscles et les organes et alors les blessures étaient trop graves pour être soignées mais ne tuaient pas tout de suite. Les sources, ce sont toutes les informations relatives à la guerre depuis plus de 1000 ans, et jusqu'à aujourdhui.
  12. Depuis quand une épée ne coupe pas ? Les daubes qu'on voulait bien filer aux archers, je veux bien (j'y connais d'ailleurs rien), mais une épée, une vraie épée, ça coupe. C'est pas avec un barreau d'acier qu'on va passer au travers d'une armure, elle aussi en acier, or on a trouvé des hommes tranchés en deux de la tête à l'entre jambe, de l'épaule à la hanche, ou du crane au diaphragme... Une épée sert à trancher. Si une épée servait à enfoncer les os, on aurait jamais fabriqué d'épée, on serait resté à la massue, ou, à la limite, on aurait fabriqué de épées de bois, style bokken (ce qui s'était avoué fort pratique pour certain ronin comme Myamoto Musashi, entre autre, pour des raisons de prix d'une lame, et aussi d'appartenance à une caste). Avec le sabre de mon père, qui est un wakisashi datant de 1603, j'ai découpé un tronc arbre de 10 cm de diamètre, et croyez moi ce n'est pas 400 ans qui ont eu raison de son tranchant. Les épées européennes étaient de la même facture (contrairement à ce que l'on peut croire) et elles n'étaient pas ces assomoirs foireux que l'on veut fair ecroire qu'elles étaient. Du Gesclin tranchait un homme ET son cheval d'un coup, d'un seul. Le problème, c'est que des abrutis sans aucune connaissance, un jour, ont essayé de tester les lames, et n'ont réussi qu'à les détruire, ils en ont conclut que les épées sont simplement des barres de métal servant à fracasser les os. Si ils s'y connaissaient un peu, ils auraient compris qu'une épée, même si affûtée sur toute sa longueur, ne tranche pas partout, ni partout pareil. Il y a une façon bien précise de se servir d'une épée, de la tenir, de frapper avec, de la retirer de la victime après coup, etc... Il y a un point de tranche idéal, et si il y avait des pommeaux au bout des poignées, ce n'était pas pour équilibrer l'objet, dont le poid de la lame causait un déséquilibre (parce qu'une lame ça pèse quoi... entre 700 et 1200 grammes... un mec qui porte 30 kilos d'armure + une épée de grande taille+ une dague + une lance + un ou deux javelots + un arc et quelques flèches + une masse + un stylet + une épée pour le combat rapproché, il va pas être déséquilibré ni emporté par le mouvement d'un kilo à peine). Non, si il y avait un pommeau, c'est pour la même raison qu'on calcule le FOC d'une flèche : si on mettait du poid au bout de la poignée, c'était pour placer le centre d'équilibre de l'épée à une distance qui se situait (en fonction du type de l'épée, de sa destination au combat ou de sa forme et sa taille) dans une zone comprise entre 25 et 75 % de la longueur de la lame. c'est à ce point d'équilibre que l'épée est la plsu tranchante. Si les épées ne tranchaient pas, pourquoi s'emmerder à faire de tels calculs ? pourquoi faire des couches d'aciers de différentes souplesses ou résistances dans le but de permettre un affûtage durable et solide ? Si le but d'une épée est de briser les os, l'essence même de la lame aurait été d'être la partie la plus lourd de l'épée, pour être la plus efficace au moment du coup (plus c'est lourd plus c'est facil d'enfoncer un crâne, logique), alors pourquoi rajouter du poid de l'autre côté de l'épée ? Ca fait perdre à la lame toute son inertie, puisque le pommeau l'empêche d'être la partie la plus lourd de l'épée Peut-être les archers avaient des épées à la con, forgées à la vas-vite et affûtées à la lime, comme le sont certaines baïonnettes aujourd'hui, peut-être, oui... mais ne venez pas dire qu'une épée ne tranche pas. Les compagnies médiévales, c'est bien, c'est mignon... mais déjà, d'une compagnie à une autre ,on n'entend pas les mêmes informations, et les "maîtres d'armes" qui sont sensés apprendre à la compagnie le maniement des armes sont parfois, et même souvent ,d'une efficacité toute relative. Au lieu d'écouter ce que disent des inconnus, ou des gens que vous considerez comme "intelligent" ou "sage" simplement parce qu'isl sont vos amis, lisez des livres, des livres d'époque. La culture, ce n'est pas de redire ce qu'on a entendu. c'est de ne parler que de ce que l'on sait, et de surcroit de source sure.
  13. Tout le monde me dit toujours ça quand je dis mon allonge, mais c'est un fait : en armant au maximum, donc à la commissure des lèvres, une flèche de 81 cm (celles que je tire actuellement) est trop courte encore, la pointe chevaauche le repose flèche (ou le tapis d'arc, en fonction de l'arc que j'utilise) Une personne que j'ai rencontré il y a quelques jours a été impresionnée de voir ça en pratique. Je me doute que ce n'est pas banal... merci de vos réponses. Donc, deux solutions : ou fabriquer moi même mes flèches et me débrouiller pour qu'elles aient la taille souhaiter, ou réduire l'allonge en pliant le bras, mais ce serait une opération bien dure à reproduire à chaque tir, c'est bien ça ?
  14. excusez moi, je vais m'exprimer plus clairement. 35 livres, c'est la puissance marquée sur l'arc, donc à 27 pouces. En tenant l'arc, le bras légèrement plié, j'arrive à une allonge de 32 pouces. Comme des flèches de 32 pouces c'est dur à trouver, j'e me dis que tirer à un allonge plus courte (donc ne pas développer mon mouvement jusqu'au bout) serait une bonne idée. J'ais la main au niveau de la commissure des lèvres, lorsque je tire habituellement.
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