ZOL

Détail du crochet du propu d'Alexandre (11 ans).

Et un beau propulseur qu'un gamin s'est confectionné comme un grand.

Et là ce "serait" un propulseur inuit.

Vue du dessous ...

Jai très peu de documentation concernant les atlatls mais les gamins ont voulu absolument qu'on construise une réplique. On a commis cela : est-ce conforme ?

Vue d'ensemble pour finir.

Là, c'était une erreur...

Toujours la poignée

Voilà les photos toutes fraîches.

Il s'agissait de la même corne mais sur l'arc se trouvent les plus longs morceaux, les deux autres bouts, c'était pour le décor. J'ai investi une fortune dans de la colle d'esturgeon et quand je l'ai essayée j'ai trouvé que c'était presque aussi bien que l'araldite, depuis j'ai une préférence marquée pour celle qui est beaucoup moins chère et plus facile à trouver, je pense que tu le savais, Pierre. La lame que vous voyez est en bubinga, je n'affectionne pas ce bois mais il m'en restait une qui traînait en classe... on verra bien. On voit surtout celui en bubinga, mais ils sont deux à sécher. D'ailleurs depuis que je les ai renforcés, vendredi soir, ils ont séché de façon incroyable ! Je vais prendre des photos demain mardi.

J'ai raté le début... c'est bien un étui pénien ?

Bonjour Simone ! :mad2:

Sympas, en effet, mais le robinier pause de sacré problème à la compression. Je prends pour preuve celui-là qui n'a pourtant été utilisé que par des gamins.

J'aménage une concavité au bout des siyahs pour que le tendon y trouve une place et ne glisse pas pendant le backing.

Gros plans sur les siyahs.

L'arc est prêt pour le renforcement .

La poignée est plus ergonomique que tout à l'heure ...

"Usinage" de la poignée.

Les lames de cornes sont collées sur le ventre...

Cintrage à chaud au niveau de la poignée et collage d'une pièce de buis rapportée (il n'y a que le buis qui s'entende bien avec la corne dans la compression).

Oui, ça doit pouvoir faire. Pour le "tutoriel" dont j'ai parlé, je dois pouvoir commencer avec quelques photos... Lame au départ ( un mètre de longueur, 3,5 centimètres de large, 3 millimètres d'épaisseur constante)

C'est un vrai coup de main à apprendre et c'est difficile s'expliquer rapidement mais en gros, sur bois parfaitement poli, tu utilises un tampon rempli de bouts de tissu, de fibres, de bouts de ficelle en coton etc... cet espèce de sac se referme à la manière des bourses en cuir ( je suis clair, là ?). Tu verses le vernis dans le tempon lui même jusqu'à ce qu'il arrive par capillarité jusqu'à la surface inférieure, externe du tempon qui doit être juste humide, par dégoulinant ! Tu huiles légèrement l'extérieur du tampon ( lin ou même vaseline) et tu étends le vernis en mouvements assez rapides et sans appuyer, mais il faut le voir et le faire pour comprendre. :27:

La supériorité de la graisse viendrait d'après ce que j'ai compris, de sa richesse en sels minéraux...

Petite erreur ... la peau de serpent, c'est le cuir prélevé sur le cadavre d'un serpent. Tu ne peux rien faire du tout qui s'apparente à un backing en utilisant une mue.

Merde, j'arrive trop tard pour la bière ! C'était pas difficile pour moi te connaissant ! Refais la même chose en mettant une bille d'osage en jeu si t'es un homme ! :23: