fab25

Bonjour à tous, personnellement, je tire avec un arc 35#, ancrage à la commissure des lèvres, les deux yeux ouverts (même à l'arc classique, je n'ai jamais réussi à fermer un oeil). Pour le Beursault j'aligne la pointe de la flèche sur le haut de la carte.

Pareil : lorsque j'ai débuté le tir à l'arc droit, il était ben rare que je rentre à la maison avec le même nombre de flèches... Il m'est arrivé d'en casser 2 ou 3 lors des premières séance de tir... Maintenant, heureusement, cela arrive beaucoup moins souvent et le nombre de flèches qui reviennent à la maison n'est plus qu'exceptionnellement inférieur à celui qui en sont parties.

Que dire de plus ? Les douze premières flèches que je m'étais montée lorsque j'ai commencée le tir à l'arc droit, ne sont plus qu'un souvenir, et puis bout de quelques temps on en casse moins. Ça fait moins mal au porte-monnaie de casser un fût bois qu'un fût carbone type X10 ou ACE. Ça casse ? bon, ben c'est pas trop grave, si l'enferron est récupérable, c'est toujours ça...

Idem, en tout cas pour Mont l'Évèque. Bonne fin d'année à tous. :03:

Depuis le temps que j'admire les couteaux de GIL, comment ne pas m'inscrire !?

Salut, j'ai recyclé une vieille pince multi-prise. J'ai limé les machoires pour en faire des mors doux et je visse le fût, pour éviter qu'il ne tourne je le tiens avec un morceau de tapis anti-dérapant fin.

Autant à 18 m, je peux me permettre de ne pas faire de pause. Autant à 50 m, j'évite absolument ! Il faut un petit temps à mon petit cerveau pour vérifier que tout est OK avant de donner l'ordre à mes petits doigts de se relâcher. De plus le temps de pause et variable : Dans ma compagnie, j'ai une très bonne habitude du jeu, de la lumière etc., le temps de pause est court, Dans un jeu d'arc soit inconnu soit en visite occasionnelle (lors d'un prix) le temps et plus long. Certains jeux d'arc sont assez étroits, dans ce cas je ne lâche pas ma flèche aussi vite. En ce qui me concerne c'est donc exactement comme le dit Foufouche : "sans ancrage, le cerveau n'as pas le temps de "voir" si tout est ok, et si quelquel chose n'est pas pret, le tir sera mauvais"

Salut, Personnellement je suis passé à l'arc droit au printemps dernier, après quelques années de pratique de l'arc classique.

Salut, tu peux trouver la liste des clubs et compagnies sur le site de la FFTA : http://ffta-public.cvf.fr/servlet/GP_RechercheClub?LIST_DPT=75 Pour ce qui est du choix de l'arc, c'est un peu fonction de chacun...

Il y a peut-être un truc empirique là derrière (comme les vitesses de coupe des métaux en usinage) va savoir. :...: D'autant que ce devrait être 879,98 g soit 1,94 lbs si on voulait être rigoureux En plus pour mesurer précisément le spine il faudrait le faire au niveau de la mer. :05: Mais tant qu'on se contente de faire des comparaisons : peu importe la précision du poids et l'altitude, du moment qu'on ne change pas ni l'un ni l'autre entre deux fûts... Encore qu'il serait marrant de calculer la force exercée par le poids au niveau de la mer et à 1000 m d'altitude pour montrer le pouième de différence ! Y-a-t-il un Isaac Newton dans la salle ?

Je me demande si j'ai bien fait de déterrer ce vieux sujet.

Effectivement Patrice a entièrement raison : régler le spine sur un plan déplace le problème sur un autre, le spine d'un fût est ce qu'il est du fait de sa fabrication. Tout ce qui peut être fait c'est de tout mettre sur le même plan, pour que les flèches se comportent à peu près toutes de la même façon, pour limiter les gros écarts de comportement entre elles si je puis dire. C'est l'unique but de mon montage.

Merci Patrice, quant aux explications des messages précédents, je me garderais bien de les commenter : trop de paramètres sont en jeu, d'autant qu'il s'agit de paramètres dynamiques auxquels il faut ajouter les paramètres de tir qui en plus ne sont pas identiques à chaque flèches (décoche, position, etc...) Toutefois, à mon avis, en ce qui concerne les fûts bois, si nos anciens ne tiraient qu'une seule flèche au Beursault, c'est bien parce qu'aucune flèche n'est identique et ne se comporte exactement comme sa petite soeur. Donc le fait de les "régler" au même spine (ou au plus proche les unes des autres) diminue déjà un des paramètres, ce n'est pas si mal... Par contre, je ne me suis jamais "amusé" à comparer mes fûts carbone : le mode de fabrication assure une bien meilleure isotropie.

Petit UP sur ce "vieux sujet. voici mon montage : une planche, deux pitons à 28" l'un de l'autre et une réglette graduée au milieu. Pour chaque "lot" de fûts je note leur déflection mini et maxi en le faisant tourner petit à petit avec le poids de 880g Ceci fait, je trouve pour chacun la position ayant la même déflection. Une petite marque bien positionnée au niveau du cône de collage de l'encoche (avec une petite cale et une mine de crayon 0,5). Et tous les fûts sont ainsi "réglés" avec un spine identique une fois les encoches collées et orientées d'après la marque. D'aucun trouveront peut-être cela peu orthodoxe... mais bon... ça marche d'autant qu'il ne s'agit pas à proprement parler d'un "spine testeur" mais plutôt d'un comparateur de "spine".

Bonjour, personnellement je possède un Falco Triumph depuis mars dernier et j'en suis très satisfait. Pour un premier arc droit c'était un bon choix. Petite puissance : 35#. Je tire à 50 m sans problème. Rien à reprocher à la finition en ce qui me concerne.

Bonjour, un peu hasardeux, peut-être. Je pense que tu as intérêt à bien couper perpendiculairement à l'axe. Quant au collage bout à bout cela ne me parait pas raisonnable sauf si tu insère un morceau de tube au niveau de la coupe à l'intérieur de la stab.

Bonjour Comte, merci pour ces renseignements. Je me prépare mon bas de laine parce que ton modèle d'arbalète médiévale me plait beaucoup. Je suis sur la branche de l'enseignement en microtechniques. Bien que je n'y consacre plus beaucoup de temps, j'ai fait pas mal de modélisme et je suis un passionné de tout ce qui touche à la mécanique : de l'horlogerie à la coutellerie. A bientôt.

Bonjour Comtedelanorena (c'est long à écrire ), Je viens de visiter ton "blog" et voir tes créations. Le micromécanicien que je suis te dit : bravo ! C'est du très beau travail. Si tu as un "catalogue" de tarifs à proposer je suis preneur pour l'étudier (je n'ai pas navigué sur toutes les pages du blog).

Bonjour, de quel type d'arc s'agit-il ?

"ouvrir" les homoplates vers l'arrière, c'est ce qui fait passer le clicker lorsqu'il reste un pouième de mm... Si cela fait mal quand tu tire c'est parce que tu tire trop avec les bras et pas assez avec les muscles du dos. Pousse sur l'arc autant que tu tire sur la corde pour équilibrer les forces, grandit toi au moment de l'armement (comme on me disait : soit fier d'être un archer !)

Bonsoir, la position en pleine allonge n'est pas mal : épaules basses, ta main part bien le long du visage, tu laisse bien basculer ton arc sans baisser le bras, impec. Un petit trucs ou deux à revoir (selon moi) : la position des jambes : les pieds ne sont pas suffisamment écartés l'un de l'autre ce qui peut diminuer un tantinet la stabilité, on dirait que tu fléchis légèrement les genoux, même conséquence sur la stabilité. Pendant l'armement il me semble que ton coude est un peu bas donc l'effet "bras de levier" sur la corde est moins efficace et probablement plus fatiguant. Cela ayant tendance à faire travailler beaucoup trop le biceps et pas assez les muscles du dos. comme je l'écrivais dans le message précédent, dans l'idéal l'armement doit être continu et dans le "super idéal" sans arrêt. Mais c'est le plus dur car tout doit être parfaitement synchronisé : la corde arrive en contact avec le nez, le clicker fait "clic" et le grain d'orge est au centre de la carte. Mais encore une fois, je ne suis ni expert ni entraîneur, c'est l'expérience personnelle qui parle. D'autres webarchers pourront certainement faire une meilleure analyse que moi.

Bonsoir, Lorsqu'on commence à fatiguer les épaules, notamment celle du bras d'arc a tendance à "remonter". Je ne suis pas expert mais : Un truc pour "apprendre" à ressentir la position des épaules : debout les bras le long du corps tirer les épaules vers le bas puis monter doucement les bras toujours en tirant les épaules vers le bas. Lorsque les bras sont à 45°, tourner les paumes vers le haut et continuer à monter les bras jusqu'à l'horizontale. Placer les paumes à la verticale vers l'avant. Plier alors le coude du "bras de corde" et amener le pouce sur le visage juste sous le menton. Tourner la tête vers le bras d'arc : les épaules et les bras sont en position de tir. Il faut ressentir le fait de tirer les épaules vers le bas durant toute la séquence. Avec l'arc il faut essayer de tirer les épaules vers le bas de la même façon. Essaie de tirer la corde sans t'arrêter sur une expiration, le mouvement doit être continu il ne faut pas chercher le clicker sinon il ne vient jamais ! Tire tranquillement le clic doit te "surprendre" au moment ou la corde touche le nez. Relâche les doigts, laisse partir ta main en arrière le long du maxilaire tout en la gardant en contact avec la tête. Ne regarde pas la flèche sinon tu as tendance à baisser le bras et la flèche "tombe", reste en position jusqu'à ce quelle atteigne la butte. Quant aux entraînements, je ne suis pas expert non plus, mais il ne faut travailler qu'une chose à la fois en tirant sur la paille ou sur un blason retourné pour ne pas faire une fixation sur la cible : Travailler l'abaissement des épaules sur une séance, le "tirage" de la corde et l'ouverture des épaules une autre séance, le lâcher de corde, etc.. Se vider la tête et ne pas trop penser pendant la séquence de tir (comment est mon bras ? mon épaule ? ma main est-elle bien là sous mon menton ?). Si on est un peu mystique on peut dire que si tu as réussi au moins une bonne séquence de tir et une bonne flèche, ton cerveau s'en souviens, il faut juste arriver à le laisser s'en souvenir sans y penser consciemment.

Comme d'habitude : MA-GNI-FI-QUE !

Boah, :...: à 93 centièmes près, on ne va pas pinailler... Et puis il y a prescription. ;) Bref tout ça pour dire que si nous sommes à peu près juste pour ce qui est des classements de nos prix généraux, les mesures sont à prendre avec des pincettes... :05:

Je dévie peut-être un peu du sujet d'origine, toutefois nous parlons d'instruments de mesure et de mesurage, donc je continue sur ma lancée (voir message précédent). Il s'agit ici non seulement de tester les secteurs gradués dessinés (avec un logiciel de dessin industriel) et imprimés sur calque mais aussi de re-piger un marmot avec différents instruments de mesures, histoire de voir les différences obtenues... J'ai donc repris un marmot (noir fait en 2010 au prix général de la Cie de St Pathus), pigé à 11,64 mm. Première opération : test des secteurs gradués. Matériel supplémentaire : loupe d'horloger Le premier disque permet de déterminer entre quel 1/2 millimètre et quel autre se trouve le centre de la pige par rapport au centre du marmot. Dans le cas présent entre 12,5 et 13 mm. Diantre ! gros écart par rapport à la mesure d'origine. Je persiste avec les secteurs gradués au 1/10 de mm (toujours avec la loupe d'horloger) J'ai pu affiner la mesure à 12,6 mm. Il y a donc un écart non négligeable : marmot pigé à 11,64 mm au départ et maintenant à 12,6 mm... L'opérateur à changé, le matériel de mesure aussi. Les secteurs gradués sont-ils fiables ? Donc je vérifie avec le calibre à coulisse à cadran au 1/100 de mm (plus fiable que le calibre numérique à mon avis) Toujours avec la loupe d'horloger pour positionner au mieux le bec au centre du marmot. Résultat : 12,63 mm. Cela réhabilite les secteurs gradués. Enfin dernière mesure effectuée au projecteur de profil : Grossissement x10 table croisée au micron (1/1000 de mm) : résultat : 12,57 mm Mesure de loin la plus fiable. Triple conclusion : - d'abord comme le disait mon vieux professeur de métrologie : "la seule valeur qu'on sache mesurer avec précision, c'est le zéro." - les secteurs gradués dont l'idée m'a été soufflée par Didier2 sont plutôt fiables. - il y aura toujours un résultat par opérateur et par instrument...