'Ibufu

Tu m'étonneras toujours, Lelégo... :29: Bon, ben passe une bonne nuit de calculs, de recherches sur les arcs turcs et sur le site de Saint-Gobain. Ne t'inquiète pas, le résultat pour demain matin huit heures sera largement suffisant. :20:

Ah ben flûte! J'avais oublié de me connecter, moi. :05: Donc, juste au-dessus, c'est moi.

Donc la déco' des flèches est interdite. Dommage, ça va faire disparaître de petits bijoux. La F*TA (le * c'est comme un "floutage" à la télé: on ne sait pas de qui on parle!) s'était déjà attaquée aux cordes bicolores sur les long-bows puis a reculé devant l'absurdité du propos, sauf erreur de ma part. La F*TL serait-elle sujette à une contamination? Ou alors, qu'on m'explique... Je comprendrais à la rigueur que ce puisse être une indicatin d'allonge, mais pour une visée, là je ne vois pas... Il est vrai que le long-bow n'est pas mon arme, même si j'en ai déjà eu entre les mains, et pas des moindres, grâce aux furieux qui m'entourent.

La sciure pour rembourrer, je vois, mais les graines de coton, c'est comment,dis? Ca doit avoir un côte huileux, non? Et puis: Pour traverser du verre sans le casser, il fallait une belle vitesse de flèche, ou bien z'avaient-y du verre mou? :28:

Si c'est une re-sucée du "Pendule de Foucault", en plus lisible, alors je vais le lire. J'aime beaucoup Eco, et je n'ai pas lu de lui que "Le Nom de la Rose". J'ai même failli appeler mon ordi "Aboulafia", en hommage au "Pendule". C'est te dire si je l'ai, au début, apprécié. Mais au bout d'un moment: basta! Trop d'ésotérisme, de références plus ou moins obscures, même si des clefs sont données. Je l'ai survolé jusqu'à la fin, et il est vrai que la description de la pendaison avec le fil du pendule est saisissante et physiquement exacte. J'aime bien m'enrichir en lisant, un minimum de réflexion ne me dérange pas, mais là, j'ai pas pu. Je n'étais peut-être pas assez disponible?

Tout à fait, Dafydd et Ishi. Un très bon livre, même si quelques longueurs (mais pas tant que ça) auraient pu être évitées. Cela me donne envie de vous conseiller un livre de Noah Gordon: "Le Médecin d'Ispahan", saga de la découverte par un charlatan anglais de la médecine du Moyen-Orient au Moyen-Âge. Plûtot fascinant, même si il n'y a que très peu d'arcs.

Du temps ou je tirais poulies+viseur, donc avec décocheur, j'ai effleuré celui-ci juste en passant le pick de l'arc (pour info: c'est le moment où on passe le maximum de l'effort à fournir, après vient la vallée, où le basculement des poulies réduit l'effort). Je tirais à cette époque 62,5 livres. Résultat: un bourre-pif monumental par ma main de corde, et plusieurs minutes pour récupérer. Allez-y, on peut se moquer: c'est tout ce que ça mérite! :lol: :lol: :lol:

Puisqu'on en cause, j'ai justement un lot de camiso... Non, rien.

Je tire poulies sans viseur, et pour moi les cibles sont "près", "moyennes" ou "loin". Beaucoup me disent que je vise et ma réponse est "oui, partiellement" parceque j'ai trois positions à prendre sur ma corde: environ 7 millimètes sous le nok-set bas pour les courtes, à peu près 3 millimètres sous ce nok-set pour les moyennes, et juste dessous pous les longues. Après ça, je fais à l'estime: courte plutôt longue, moyenne longue, longue courte, et toutes les combinaisons possibles, ce qui peut sembler incohérent à la plupart d'entre vous. C'est normal, ce n'est pas un barème calculé, pas de cerclage, juste un regard sur le terrain, pour voir (essayer de -) s'il y a un piège: butte masquant une partie du terrain, creux idem, éclairage, dévers. Un avantage: les tireurs "open" auront remarqué que la distance entre leur pinoche haute et la basse est à peu près celle entre mon point de corde haut et mon point de corde bas: mon arc, un PSE Dakota, a un trait fantastique. Un inconvénient: gérer cet arc en tir manuel est un problème que je n'ai pas encore entièrement résolu, car il impose une décoche parfaite, et je ne suis qu'humain: l'erreur se mesure parfois en dizaines de centimètres. 270°? je vais essayer, tiens... :whistling:

J'utilise depuis plusieurs années ce type de bracelet, mais le mien n'est plus fabriqué car il contient du mercure. Je ne peux donc pas me porter garant du nouveau modèle. En tout cas, depuis que je le porte, je n'ai plus de douleurs dans le coude gauche, et quand je parle de douleurs, il ne s'agissait pas de petits bobos. Pour être efficace, ce bracelet doit être porté suffisament serré pour qu'il soit fermement au contact des extrémités du radius et du cubitus, côté poignet évidemment. Ricoche: Je ne pense vraiment pas que celà relève du placebo ... mais je retiens ton idée pour la déco ! Jihaif: D'accord avec toi quant à l'amortissement sur l'arc lui-même, et j'incite tous les membres de mon club à avoir recours aux procédés existants : les champignons autocollants en caoutchouc fonctionnent très bien (il suffit d'entendre le changement du bruit de l'arc à la décoche), mais sur mon PSE Dakota ils se sectionnaient à la base assez rapidement, et vu leur prix, c'était agaçant. J'utilise maintenant les gros amortisseurs en caoutchouc cerclé de métal, fixés directement sur les vis de réglage de puissance des branches. Celà coûte plus cher mais ça ne s'abime pas (plus d'un an qu'ils sont en place), et ils fonctionnent très bien. Je persiste toutefois à leur associer le bracelet. Mais je sais pas comment amortir un arc droit, et je trouve que des champignons seraient une offence à l'esthétique de ces bien beaux objets.

Salut, Gallus! Oui, je sais, c'est familier, mais avec le décalage horaire je ne sais pas s'il faut dire bonjour ou bonsoir, donc: salut. et c'est pas à c't'heure-ci que je vais vérifier dans un atlas. C'est la première fois que je visite ce sujet, que j'ai pris par hasard au premier message. Je n'ai pas pu m'en déconnecter avant de connaître la fin, c'est aussi haletant qu'un polar des grandes années. Mais moi, j'aime bien les histoires qui finissent bien, alors ,stoplè, refais-nous un arc, t'as vu: on est tous avec toi ! Et surtout tiens-nous au courant, tu le fais de si belle manière. :29: :24: :29: :24: :29:

Un peu trop puissant, dis-tu? Que veux-tu dire par là? Quelle était la puissance, à ton allonge, de ton arc précédent, car je suppose que tu as tiré un autre arc avant d'en acquérir un, en initiation, par exemple ? D'ailleurs, quelle est ton allonge ? Quelle est la puissance nominale de ton arc ? (voir les indications côté intérieur de la branche basse . Quelle est sa puissance à ton allonge ? Depuis combien de temps, ou plutôt depuis combien de flèches utilises-tu cet arc ? Cette série de questions peut nous aider à nous faire une opinion. Normalement, il y a quelqu'un dans ton club qui peut t'aider à trouver ces réponses. Allez, à bientôt; tiens-nous au courant.

Entièrement d'accord avec Gouliblood : le matos ne varie pas autant d'un jour à l'autre (je dis bien "pas autant", parce qu'il faut reconnaître que, pluie, soleil, vent ou neige influent sur les réactions de l'ensemble constitué par archer-arc-flèche). Mais cinquante centimètres de différence du jour au lendemain, sur un même site, m'incitent à penser que ce n'est pas du côté de l'arc ou des flèches qu'il faut chercher. Gouliblood a raison: enlève la cible; et va même plus loin (non, reste, c'est une manière de parler, allez, reviens, quoi :109: ) Non, sérieux : place-toi à deux ou trois mètres de la paille. A cette distance, tu ne peux pas la rater, donc pas de soucis. Il n'y a pas de cible, pas de jaune ou de zone "tué" à atteindre. Tu armes ton tir, tu vises (si tu as un viseur) ou tu estimes ton tir, histoire d'être sûr que tu est à peu près dans la bonne direction, mais il n'y a pas de risque, et... TU FERMES LES YEUX, tu essaies de ne penser qu'aux sensations physiques: où se place ma main de corde sur le visage ? Celà pendant deux ou trois secondes maximum, sans te prendre la tête. ET PUIS TU LÄCHES SANS ROUVRIR LES YEUX. La flèche est dans la paille, tranquille. Et tu recommences: armer, fermer les yeux, "où est ma main ?" , lâcher. Et tu recommences... Très rapidement, ton corps va enregistrer une position qu'il saura reproduire. Ce petit conseil peut s'appliquer à chaque élément du tir : Où est mon effort principal : dans mon bras de corde ou dans mon dos ? Etc... Voilà. En tout cas, moi je fais comme çà ... a la base, l'idée n'est pas de moi, je tiens à le préciser Et les autres, là! Qu'est-ce qu'ils en pensent ? :07: